Laissons cela… Je disais… Ah ! nous n’avons le droit de nous soustraire à aucun de nos devoirs… J’ajoute, je me hâte d’ajouter que je n’en connais pas de plus agréable que celui de signaler le mérite au suffrage de l’Académie.
Je sais, mon cher maître, je sais, par Mme Labellevigne, toute l’indulgente bienveillance que vous avez pour mon petit volume… et je viens vous en remercier… Il est certain qu’il dépend de vous que mon travail soit couronné, et je voudrais, si vous le permettez, insister encore…
Outre le mérite réel de votre livre, je n’ignore aucun des titres que vous avez à faire valoir. Beaucoup m’en ont instruit… Vous comptez, monsieur, — et je vous en félicite — tant d’amis.
Croyez bien…
Si je n’oublie aucune des personnes qui s’intéressent à vous… (Feuilletant un dossier.) dans le monde, dans les journaux, au Sénat, à l’Institut, jusque dans le gouvernement, et jusque dans mon département, j’aurai, si vous obtenez le prix Cornard-Cabasson, une centaine de lettres à écrire, pour l’annoncer…
Mon cher maître, je suis confus…
Quoi donc ? Monsieur, on a les amis qu’on mérite…