Page:Mirecourt - Balzac.djvu/50

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dépassèrent le prix de vente de trois ou quatre cents francs.

Certes, il était difficile que Balzac payât ses dettes avec un pareil système.

« Il poussait si loin le mérite de la vérité et de l’exactitude, dit le bibliophile Jacob, qu’il ne dépeignit jamais un pays sans l’avoir visité, et qu’il ne craignait pas de faire un voyage pour voir une ville, une rue, un lieu quelconque où il voulait placer les scènes de son drame. De là ces merveilleux tableaux du logis Grandet à Saumur, et de la maison Rouget à Issoudun. M. de Balzac était peintre à la manière de Gérard Dow, de Miéris et de Rembrandt. »

Les voyages d’une part et les correc-