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Gavarni se chargea d’illustrer les Contes d’Hoffmann, la Philosophie de la vie conjugale de Balzac et les Physiologies d’Aubert et de Philippon.
C’était une véritable locomotive artistique chauffée à toute vapeur.
Il livrait au commerce une infinité d’aquarelles, fournissait par an douze costumes nouveaux à la maison Martinet, composait dans les Français peints par eux-mêmes les types les plus réjouissants, et trouvait encore moyen de se mettre à la disposition d’Hetzel pour ce fameux Diable à Paris, dont chaque esquisse fut couverte d’or.
Excessivement généreux de sa nature, Hetzel ne comptait pas avec les artistes.