Page:Mirecourt - Méry.djvu/62

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quelqu’un aborda Charles Nodier et lui dit :

— Comment trouvez-vous cela, maître ?

— Pas trop mal, répondit Nodier. Seulement, on a coupé ce qu’il y avait de mieux.

— Quoi donc ?

— Ce qui a paru dans le Globe, il y a huit jours.

Nos lecteurs peuvent étudier les pièces du procès, mettre en regard les deux actes et se convaincre que celui de Méry est infiniment supérieur à l’autre.

Du reste, ici, le jugement de Nodier a force de loi.

Les amis de Méry s’amusèrent souvent à lui faire subir de semblables épreuves.