Page:Moinaux, Les Géorgiennes.djvu/38

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
––––––Car c’est l’honneur qui nous appelle ;
––––––––Changeons-nous en soldats,
––––––––De fer armons nos bras,
––––––Car notre cause est la plus belle.
––––––––––Vers l’arsenal,
––––––––––À mon signal,
––––––––Que chacune s’élance ;
––––––––––Hâtons nos pas,
––––––––La gloire les devance.
(Aux faux blessés.)
––––––––Vous, martyrs des combats,
––––––––Allez à l’ambulance.
CHŒUR.
––––––––Allons ! marchons, etc.
ENSEMBLE.
LES FEMMES.
Ô Bellone, c’est toi
Dont l’amour nous excite ;
Nous vivons sous ta loi,
Nous marchons à ta suite.
BOBOLI.
Mes icoglans et moi,
Que votre exemple excite,
Nous voulons, sur ma foi,
Marcher à votre suite.
CHŒUR GÉNÉRAL.
––––––––Allons ! marchons gaîment, etc.


(Le rideau baisse.)