Page:Momas (Fuckwell), Débauchées précoces, 1900.djvu/161

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— Tu n’y penses pas, Antonia !

— Tu consens, eh, et ça me causera tant de plaisir ! Ici, on est plus libre qu’à la pension et je me régalerai vite.

— Non, non, non.

— Alors, tu es une méchante et je dirai du mal de toi à Agathe, à Bernerette ; et puis, à ton Monsieur, tu sais, moi, je n’ai peur de personne.

— Voyons, que me veux-tu ?

— Aller sous tes jupes.

— Ah, que tu es petite saloperie, vas-y vite et retournons au salon ; je lirai ma lettre cette nuit.

L’autorisation obtenue, Antonia se jeta à quatre pattes, fourra la tête sous les jupes de Rita, entrouvrit le pantalon, commença par bécoter le cul, puis glissa entre les cuisses, où elle lança quelques adroites minettes, témoignant de sa vocation un peu prématurée et ne céda qu’avec beaucoup de peine à l’injonction de Rita, lui rappelant l’imprudence qu’il y aurait à rester trop longtemps éloignées du salon.

S’arrachant de dessous les jupes, elle dit :