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sang, depuis que par deux fois il l’avait pollué sous les jupes.

Agathe s’était accroupie sur les talons, la tête près de la queue ; elle l’examinait avec grande curiosité, la tenant droite dans sa main, lui pinçant le gland, et par moments, mue par une passion instinctive, elle se penchait, la baisait, frottait les joues contre les couilles tirées hors de la culotte.

Il ne la troublait en rien.

Elle aspirait l’odeur mâle avec ce gonflement des narines qui dénote la surexcitation maîtresse de l’être, elle se serrait de plus en plus contre les cuisses de Célestin, elle entr’ouvrait toute la culotte, relevait la chemise jusqu’au dessus du nombril, et, dominatrice du ventre, des parties sexuelles, baisotait un peu partout, au hasard des lèvres, entourant la queue de mignardes caresses, ne l’abordant pas encore franchement.

Tout à coup, comme elle approchait la bouche, pour la sucer enfin, elle s’arrêta, pâlit, se recula et poussa un gémissement.

Étonné, il descendit des régions sublu-