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Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/94

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Ç’avait été certain souper où les plus belles gougnottes de Paris avaient été invitées, et où la nudité la plus absolue avait été exigée…

Et elles se rappelaient, en souriant, toutes les voluptés de cette fête extraordinaire, où chaque gougnotte s’était fait sucer par sa camériste respective… Et la sauterie finale !!… Ces quinze femmes nues, armées de godmichés, baisant leurs soubrettes dans les postures les plus extravagantes d’un quadrille canaille !

À quelque temps de là, Hélène s’était éprise violemment d’un jeune snob, rencontré au Bois… et la jeune femme n’avait pas tardé à ne lui laisser ignorer aucun de ses charmes les plus secrets…

Suzanne, un jour qu’elle vint visiter son amie, ne fut pas reçue par cette dernière, laquelle, en compagnie de son amant, s’ébattait gentiment…

Le lendemain et les jours suivants, la