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De même qu’avec le Vl° siècle de Rome l’l1istoire de _ systeme la grande cité devient possible, et comporte enfin le » récit et l’encl1aînement des faits divers‘, de même dé- sormais l’état économique des Romains nous apparaît I V .d’une façon plus nette et plus précise, et se prête mieux ` f à `notre examen. Ã cette heure aussi la grande propriété I`. s’est constituée dans l’agriculture et dans la finance ~ _ sous les formes et danslles vastes limites cle son dévelop- ` _ pement ultérieur, sans d’ailleurs qu`il nous soit ’donné _ d’y faire le départ entre les éléments ayant leur 1·acine dans les vieilles coutumes, ceux qui ne seraient qu’imi— tés de l’agriculture ai de l’économie financière des na- q tions civilisées plus anciennes, commes celle des Phéy- E ` ` niciens, et ceux enfin qui sont bien réellement le · produit de l’accumulation du capital et` de l’intelli· 1- [C,CSl 08 qllë notre Zllllëlll’, ZIVGC toute l’è0Ol8 àllëlllâlldë, appelle Vhistoire pragmatique, par opposition à l’histoire_ philosophique, qui dans les événements ne recherche que les causes et les eiïetsl sociaux _ , ou politiques.] .
