Page:Monselet - La Franc-maçonnerie des femmes, 1861.djvu/93

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lui et ses amis, dans un endroit où, selon son expression, ils ne courraient pas le risque d’être dérangés. Satisfait de cette assurance, M. Blanchard reprit le chemin par où il était venu, ne songeant plus qu’à sa présentation du soir à la comtesse d’Ingrande et à la marquise de Pressigny. Cette pensée fixe l’empêcha de s’apercevoir que, depuis un quart d’heure environ, il était suivi de loin et épié par une femme, dont un voile épais ne permettait pas de distinguer la physionomie.