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du troisième volume

49 — en. B, l’en.

51 — qu’il. B, qui.

52 — A, enporte.

57 — A, C, à vilain.

59 — B, à tel.

63 — A, C, A ce.

65 — B, entrer vilains.

68 — l’en. C, hom.

72 — la. B, sa.

74 — Le conte d’Audigier (Méon, IV, 217-233), parodie des chansons de gestes, était célèbre au moyen âge. Nous le voyons cité dans l’Aiol (vers 953 et 992, éd. J. Normand et G. Raynaud) et dans le Jeu de Marion et Robin (Adam de la Halle, éd. Coussemaker, 409-410).


Nous retrouvons à peu près l’idée de ce fabliau dans le 16e conte, p. 25, des Contes secrets russes (voy. p. 334-335)


LXIX. — De le Vescie a Prestre, p. 106.

Notre texte est établi d’après la copie de la Bibliothèque nationale (coll. Moreau, 1727 ; Mouchet, 52). Nous désignons par M cette copie, dans laquelle, comme aussi dans celle du fabliau no LXXI, nous avons essayé de régulariser certaines notations orthographiques (mut pour molt, eis pour ez, ki pour qui, etc.).

Publié par Méon, Nouveau Recueil, I, 80-90 ; par Renouard dans Legrand d’Aussy, IV, app. 18-21, et par M. Aug. Scheler dans les Trouvères belges, 214-224 ; analysé par Legrand d’Aussy, IV, 177-184.


Vers 4 — La présence dans ce fabliau de la ville