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ET ALPHABÉTIQUE.


et ceux de saint Louis, sont une des sources des coutumes de France, XXVIII, 45.

Établissements de saint Louis. Révolutions qu’ils apportèrent dans la jurisprudence, XXVIII, 29. Pourquoi admis dans des tribunaux, et rejetés dans d’autres, ibid. Sont l’origine de la procédure secrète, XXVIII, 34. Comment tombèrent dans l’oubli, XXVIII, 37. Ce qu’il faut penser du code que nous avons sous ce nom, ibid. Ne furent point confirmés en parlement, ibid. Le code, que nous avons sous ce nom, est un ouvrage sur les établissements, et non pas les établissements mêmes, ibid. Ce que c’est, comment, par qui a été fait ce code, et d’où il a été tiré, XXVIII, 38.

Établissement-le-roi. Ce que c’étoit du temps de saint Louis, XXVIII, 29. Ce code est un ouvrage très-précieux ; pourquoi : ses défauts, sa forme, XXVIII, 38.

Établissement de la monarchie françoise. Voyez DUBOS.

État. Comment les états se sont formés, et comment subsistent, I, 3. Quelle en doit être la grandeur, pour qu’ils soient dans leur force, IX, 6. Plus un état est vaste, plus il est facile de le conquérir, ibid. Vie des états comparés avec celle des hommes : de cette comparaison dérive le droit de la guerre, X, 2. Chaque état, outre la conservation, qui est leur objet général, en a un particulier, XI, 5. De combien de manières un état peut changer, XI, 13. Quel est l’instant où il est le plus florissant, ibid. Sa richesse dépend de celle des particuliers : conduite qu’il doit tenir à cet égard, XIII, 7. Doit à tous les citoyens une subsistance assurée, la nourriture, un vêtement convenable, un genre de vie qui ne soit point contraire à la santé, XXIII, 29. Un grand état devenu accessoire d’un autre, s’affoiblit, et affaiblit le principal : conséquences de ce principe, au sujet de la succession à la couronne, XXVI, 23.

État civil. Ce que c’est, I, 3. État modéré. Quelles y doivent être les punitions, VI, 8.

État politique. De quoi est formé, I, 3.

États. Étoient fréquemment assemblées sous les deux premières races : de qui composés : quel en étoit l’objet, XXVIII, 9.

États (pays d’). On ne connoît pas assez en France, la bonté de leur gouvernement, XIII, 12.

Éthiopie C’est la religion chrétienne qui en a banni le despotisme, XXIV, 3.

Étrangers. Ceux qui arrivoient autrefois en France étoient traités comme des serfs : de ce fait, l’auteur prouve que ce qu’on appelloit census ou cens, ne se levoit que sur les serfs, XXX, 15.

Êtres. Ont tous leurs lois, I, 1.

Êtres intelligents. Pourquoi sujets à l’erreur : pourquoi s’écartent de leurs lois primitives, et de celles qu’ils se prescrivent eux-mêmes, I, 1 ; XXVI, 14.

EUCHER (saint). Songe qu’il est ravi dans le paradis, d’où il voit Charles-Martel tourmenté dans l’enfer, dès son vivant, parce qu’il entreprit sur le temporel du clergé, XXXI, 11.

Eunuques. Pourquoi on leur confie en Orient des magistratures : pourquoi on y souffre qu’ils se