guerre, XXXI, 27. Quand commencèrent
à devenir absolument
héréditaires, XXXI, 28. Quand le
partage a commencé d’y avoir lieu,
ibid. Devinrent sous la seconde
race des rois, comme la couronne,
électifs et héréditaires en même
temps : qui est-ce qui héritoit ?
qui est-ce qui élisoit ? XXXI, 29.
Dans quel temps vivoient les
auteurs des livres des fiefs, XXXI,
30. L’empereur Conrad, établit le
premier que la succession des
fiefs passeroit aux petits-enfants,
ou aux frères ; cette loi s’étendit
peu à peu pour les successions
directes, à l’infini ; et pour les
collatérales, au septième degré,
ibid. Pourquoi leur constitution
primitive s’est plus longtemps conservée
en Allemagne qu’en France,
ibid. Leur hérédité éteignit le gouvernement
politique, forma le gouvernement
féodal, et fit passer la
couronne dans la maison de Hugues
Capet, XXXI, 32. C’est de leur perpétuité
que sont venus le droit d’aînesse,
le rachat, les lods et ventes,
etc., XXXI, 33. Origine des luis civiles
sur cette matière, XXXI, 34.
Fief de reprise. Ce que nos pères appelloient ainsi, XXXI, 8.
Filles. Quand commencèrent, chez les Francs, à être regardées comme capables de succéder : effet de ce changement, XVIII, 22. N’étoient pas généralement exclues de la succession des terres, par la loi salique, ibid. La liberté qu’elles ont, en Angleterre, au sujet du mariage, y est plus tolérable qu’ailleurs, XXIII, 8. Sont assez portées au mariage : pourquoi, XXIII, 9. Leur nombre, relatif à celui des garçons, influe sur la propagation, XXIII, 12. Vendues à la Chine par leurs pères, par raison de climat, XXIII, 45. Il est contraire à la loi naturelle de les obliger à découvrir leur propre turpitude, XXVI, 3. Il est contraire à la lot naturelle de leur permettre de choisir un mari à sept ans, ibid. C’est peut-être avec raison qu’on les a exclues de la succession aux fiefs, XXVI, 6. Pourquoi ne peuvent pas épouser leur père, XXVI, 14. Pourquoi pouvoient être prétérites dans le testament du père ; et les garçons ne le pouvoient pas être, XXVII, 1. Pourquoi ne succèdent point à la couronne de France, et succèdent à plusieurs autres de l’Europe, XXXI, 33. Celles qui, du temps de saint Louis, succédoient aux fiefs, ne pouvoient se marier sans le consentement du seigneur, XXXI, 34.
Fils. Pourquoi ne peuvent épouser leur mère, XXVI, 14. Pourquoi ne pouvoient pas être prétérits dans le testament de leur père, tandis que les filles pouvoient l’être, XXVII, 1.
Fils de famille. Pourquoi ne pouvoit point tester, même avec la permission de son père, en la puissance de qui il étoit, XXVII, 1.
Finances. Causes de leurs désordres dans nos états, XIII, 16 et 17.
Finance (la) détruit le commerce, XX, 13.
Financier. Combien les peuples simples sont éloignés d’imaginer et de comprendre ce que c’est qu’un tel homme, XXX, 13.
Firmitas. Ce que c’était autrefois en matière féodale, XXXI, 33.
Fisc. Comment les lois romaines en avoient arrêté la rapacité, XXI, 17. Ce mot, dans l’ancien langage, étoit synonyme de fief, XXX, 21 et 22.