Page:Montesquieu - Esprit des Lois - Tome 2.djvu/15

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  • Chap. X. Dans quel cas il faut suivre la loi civile qui permet, & non pas la loi de la religion qui défend, 130
  • Chap. XI. Qu’il ne faut point régler les tribunaux humains par les maximes des tribunaux qui regardent l’autre vie, ibid.
  • Chap. XII. Continuation du même sujet, 131
  • Chap. XIII. Dans quels cas il faut suivre, à l’égard des mariages, les loix de la religion ; & dans quel cas il faut suivre les loix civiles, ibid.
  • Chap. XIV. Dans quels cas, dans les mariages entre parens, il faut se régler par les loix de la nature ; dans quels cas on doit se régler par les loix civiles, 133
  • Chap. XV. Qu’il ne faut point régler, par les principes du droit politique, les choses qui dépendent des principes du droit civil, 137
  • Chap. XVI. Qu’il ne faut point décider par les règles du droit civil, quand il s’agit de décider par celles du droit politique, 139
  • Chap. XVII. Continuation du même sujet, 141
  • Chap. XVIII. Qu’il faut examiner si les loix qui paroissent se contredire sont du même ordre, 142
  • Chap. XIX. Qu’il ne faut point décider par les loix civiles les choses qui doivent l’être par les loix domestiques, ibid.
  • Chap. XX. Qu’il ne faut pas décider par les principes des loix civiles les chofes qui appartiennent au droit des gens, 143
  • Chap. XXI. Qu’il ne faut point décider par les loix politiques les choses qui appartiennent au droit des gens, 144
  • Chap. XXII. Malheureux sort de l’ynca ATHUAPA, 145