Page:Montesquieu - Pensées et Fragments inédits, t1, 1899.djvu/550

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

celui qui a fait notre être, et qui a donné à nos âmes de certaines tendances et de certains penchants. »

Page 28, ligne 1. — Montesquieu avait mis d’abord : t ... par une certaine tendance à sortir du lieu où l’on est placé. »

Page 28, ligne 27. — Montesquieu parle, sans doute, ici de sa fille cadette : Marie-Josèphe-Denise de Secondat, qui naquit en 1727, épousa, en 1745, son cousin Godefroy de Secondat, et mourut en 1800.

Page 29, ligne 1. — Le petit-fils auquel Montesquieu adressa ces conseils est, sans doute, le fils de son fils : Charles-Louis de Secondat, qui naquit en 1749 et mourut en 1824, plutôt que le fils de sa fille Denise : Joseph-Cyrille de Secondat, qui naquit en 1748 et mourut en 1826.

Page 3o, ligne 20. — Le manuscrit donne Peline, au lieu de Pline.

Page 3o, ligne 22. — Le manuscrit donne Friend, au lieu de Freind. Jean Freind (1675-1728) est l’auteur d’un livre anglais sur l’Histoire de la Médecine depuis le Temps de Galien (Londres, 1725-1726). Montesquieu la cite ailleurs, dans ses Pensées (tome II, folio 66 v°), en estropiant encore le nom de Freind.

Page 32, lignes 12 et 13.— Dans le catalogue de la Bibliothèque de La Brède (page 56o), on lit: « Saavedra (Faxardo), Corona Gothica, Çastellana y Austriciaca, Munster, an. 1646, 4°). »

Page 32, ligne 19. — C’est, sans doute, de Reinerus Reinecdus (mort en i5g5) qu’il s’agit ici.

Page 33, ligne 17. — Il s’agit ici d’Antoine Houdar de La Motte, célèbre par la part qu’il prit, en 1714, à la querelle des Anciens et des Modernes.

Page 34, ligne 17.— C’est évidemment d’Antoine Arnauld, le grand adversaire des Jésuites, que Montesquieu parle ici.

Page 34, ligne 26. — Le Temple de Gnide est imprimé dans le tome II, page 1, des Œuvres complètes de Montesquieu publiées par M. Éd. Laboulaye, dont nous citerons toujours l’édition dans ces notes.

Page 35, ligne 18. — Le Dialogue de Sylla et d’Eucrate est imprimé dans le tome II, page 327, des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 35, lignes 22 à 28. — Il s’agit, sans doute, ici des Considérations sur la Grandeur des Romains.

Page 35, ligne 26.— Par Mercure, il faut entendre le Mercure de France, la plus ancienne des gazettes de notre pays.