Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/141

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.






          Moi que la noble Athène a nourri,
          Moi l’élu des Nymphes de la Seine,
Je ne suis pas un ignorant dont les Muses ont ri.


                L’intègre élément de ma voix
      Suscite le harpeur, honneur du Vendômois ;
Et le comte Thibaut n’eut pas de plainte plus douce
      Que les lays amoureux qui naissent sous mon pouce.