Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/142

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L’Hymne et la Parthénie, en mon âme sereine,
Seront les chars vainqueurs qui courent dans l’arène ;
          Et je ferai que la Chanson
          Soupire d’un tant ! courtois son,
Et pareille au ramier quand la saison le presse.
          Car, par le rite que je sais,
Sur de nouvelles fleurs les abeilles de Grèce
          Butineront un miel Français.