Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/173

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CONTRE QUELQUES-UNS

Il est qui se pensent savants
et de miel arrosés, parmi nos écrivants,
lorsque d’un vain propos leur subtilité farde
le véridique teint de leur humeur couarde.
Ceux-là les peut-on voir
d’un froncé sourcil pédantesque
vanter la Minerve tudesque
ou l’Anglais, de gravité l’hoir.