Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/223

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Que sur le luth français j’accorde pour vous deux
les paroles que dit dans la cité dolente,
en langage toscan, le plus jeune au plus vieux :
ô fonts de poésie, ô pères, fameux sages,
ô des autres chanteurs ornement et clarté,
soutenez ma faiblesse et que me soit compté
le désir qui m’a fait rechercher vos ouvrages.