Page:Mouravieff - Lettres à un ami sur l'office divin de l'Eglise catholique orthodoxe d'Orient, trad. Galitzin, 1850.djvu/79

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Ah ! ne soyons point avares de notre temps, quand il s’agit de le consacrer à la prière : nous le dissipons si souvent en vain, et tant que nos jours n’ont pas encore été emportés par le tourbillon des vanités mondaines, offrons-en la dîme légitimement due au Dieu de miséricorde et de bonté, de qui nous tenons toutes choses.