Page:Mourguet - Théatre lyonnais de Guignol, tome 2.djvu/248

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ALFRED.

Madame, mon domestique avait cru voir… Il m’avait dit…


Scène XIII.

LES MÊMES, ZISKA.
ALFRED.

Ah ! je comprends ; voilà la personne qu’il avait vue.

GUIGNOL, tremblant.

Ah ! v’là le fumeron ! Approchez pas, approchez pas.

ZISKA.

Moa, très-jolie, petit Français.

ALFRED.

N’aie pas peur, Guignol ; c’est une très-belle négresse.

GUIGNOL.

Elle est de quéque pays où ils ont l’accoutumance de se manger chacun à leur tour en boulli ou en rôti.

EDITH.

C’est ma suivante : elle a été élevée avec moi… Elle est douce & bonne.

ZISKA.

Moa, pas méchante.