Page:Mourguet - Théatre lyonnais de Guignol, tome 2.djvu/317

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DUPÉTRIN.

Alors je comprends que votre femme préfère vous laisser en plein air.

GUIGNOL.

Mais aussi, demain matin, je casse tout chez nous.

DUPÉTRIN.

Ça vous avancera bien ; c’est vous qui payerez… Allons, bonjour ! je rentre chez le patron ; nous faisons encore des gâteaux aujourd’hui.

GUIGNOL.

Si te veux de la vanille… faut pas te gêner.

DUPÉTRIN.

Merci !… ça donnerait trop de goût à nos gâteaux des rois.

GUIGNOL.

Des gâteaux des rois !… (À part.) Ah ! brigand !… ah ! canaille !… ah ! gredin !… ah ! vaurien de Guignol !…

DUPÉTRIN.

Qué qui vous prend donc ?

GUIGNOL.

Des gâteaux des rois !… Et moi qu’avais promis à ma