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Page:Mourguet - Théatre lyonnais de Guignol, tome 2.djvu/342

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n’ai plus aucune objection ; j’ai promis. Je suis à vous dans un instant. (Il entre au château.)

LE BARON, seul.

La charmante Estelle sera paronne de Blümenstein.

LE COMTE, revenant.

Ce billet au concierge du vieux château, & toutes les entrées vous seront montrées. Au revoir, Baron ! (Il salue & rentre au château.)

LE BARON.

À temain, Monsir le Comte. (seul.) Friedrich, brends ton gœur de lion, & fa mériter celle que ti atores. (Il sort.)



Scène VII.

VICTOR DE SIRVAL, GUIGNOL.
VICTOR.

Hé bien, Guignol, te plaira-t-il d’avancer ? Quelle patience j’ai avec toi !… Arriveras-tu enfin ?

GUIGNOL, entrant après son maître.

Oh ! je viens bien… Je peux pas aller plus doucement.

VICTOR.

Je m’en aperçois… Viens, car ma patience est à bout.