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Page:Mourguet - Théatre lyonnais de Guignol, tome 2.djvu/366

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niatres… Enfin, nous leur z’avons fait à tous mordre la poussière… Nous leur z’avons enlevé tous leurs canons…

BENEYTON.

Ils avaient des canons !

GUIGNOL.

Leurs canons de fusil & de pistolet… Et nous sommes sortis triomphants de ces épouvantables souterrains… Grâce à nous deux, à notre courage, à notre énergie, à notre sang-froid, le pays est à jamais délivré de ces infâmes malfacteurs… Voilà ! voilà ! voilà !

TOUS.

Vive Guignol ! vive Guignol !



Scène III.

LES MÊMES, LE COMTE, ESTELLE.
LE COMTE.

Mes enfants, la tranquillité est rendue au pays, grâce aux deux héros de cette nuit. On vient d’arrêter à l’instant même le reste de la troupe des faux monnayeurs, & tous subiront la juste peine de leurs forfaits.



Scène IV.

LES MÊMES, VICTOR.
LES PAYSANS.

Vive monsieur Victor !