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Page:Murger - Les Nuits d’hiver, 1861.djvu/12

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-2 LES NUITS D’HIVER.

Que ton cellier soit plein du vin de la comète ! Qu’on ne t’emprunte pas d’argent,— et qu’on t’en prête ! Que le brelan te suive autour des tapis verts ;

Et qu’un jour sur ta tombe, en marbre de Carrare, Un burin d’or inscrive — hic jacet — l’homme rare Oui payait d’un écu trois cents pages de vers !