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Page:Murger - Les Nuits d’hiver, 1861.djvu/13

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DÉDICACE

DE LA VIE DE BOHEME

Comme un enfant de Bohème, Marchant toujours au hasard, Ami, je marche de même Sur le grand chemin de l’art.

Et pour bâton de voyage, Comme le bohémien, J’ai l'espoir et le courage : Sans cela je n’aurais rien.