Grandeau, ne cessent de protester chaque jour contre une aussi incompréhensible démence. Mais de les écouter on n’a garde, de les entendre encore moins et notre insondable bêtise humaine s’obstine à perdre, dans Paris seul, des centaines de millions chaque année pour empoisonner nos poissons.
Il est dit et redit qu’en tous ordres de choses nous persisterons à marcher sur la tête, ce qui n’est pas le bon moyen pour être à notre aise.
Mais revenons, pour en finir, à notre action sous le sol engagée.
D’après les tâtonnements de nos premiers essais en l’atelier, un praticien aura d’abord pressenti les difficultés qui nous attendaient par des localités nullement disposées pour nous recevoir.
Le premier de nos impedimenta était l’encombrant bagage de nos piles successivement distribuées sur un ou deux chariots. Toutes les combinaisons essayées, épuisées, arrivèrent finalement à échouer devant l’étroitesse de quelques-unes de ces voies souterraines, étranglées à certaines places comme des taupinières…
Il fallut se résoudre à laisser cette partie de notre matériel au dehors, sur la voie publique, d’où il