6. Dans la source de toute vie, vaste base de tout, dans cette roue sphérique de Brahm, est mis en révolution celui qui vient et qui va[1] ; mais s’il médite sur le Soi, l’ordonnateur (considéré) comme distinct (de la roue), honoré par Lui dès ce moment, il parvient à l’état où la mort n’existe plus.
7. Sur ce Brahman suprême il a été chanté aussi : en Lui est le trois[2]. Lui aussi est la base ultime au-delà de toute corruption. Lorsqu’ils connaissent la différence (séparant) ces quatre, les connaisseurs de la sagesse se fondent en Brahm, unis à Cela, et sont affranchis de la matière.
8. Ce tout, bien assemblé, ce qui périt et ce qui ne périt point, ce qui est révélé et ce qui ne l’est pas, est soutenu par l’être de puissance : au contraire, le moi impuissant est maintenu dans les liens parce