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assure la répartition, et celui qui extériorise.

Chit, dans son troisième état, en contact avec le Sthûladeha, prend les noms de Vaishvânara, « en qui vivent tous les hommes », du point de vue cosmique, et Jîva, « celui qui vit », du point de vue individuel.

Les explications qui précèdent pourront être de quelque utilité, surtout dans l’étude de la Mândûkyopanishad, et pour la compréhension de quelques expressions comme : « l’homme aux dix-neuf mois » ; ces derniers sont les quinze Prânâh, Karmendriyâni et Gnânendriyâni, et les quatre aspects de l’Antah-Karana.

Nous avons fait précéder chaque Upanishad d’un résumé succinct des sujets qu’elle traite (bhûmikâ) et aussi du chant de Paix (Shânti-pâtha ou Shânti-vâchana) spécial au Véda dont elle fait partie.

Pour ceux qui abordent dans un esprit de dévotion l’étude des Upanishads, nous ajoutons ici trois mantras :