Page:Noailles - L’Ombre des jours, 1902.djvu/99

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Et là, oubliant tout du mal que tu me fais,
J’entendrai, les yeux clos, l’esprit las, le cœur sage,
Sous les hêtres d’argent pleins d’ombre et de reflets,
La respiration paisible du feuillage…