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Page:Noailles - Les Forces éternelles, 1920.djvu/401

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C’ÉTAIT LA SOLITUDE…


Tu dispersas l’immense et vivant paysage
Qui sous mon front séduit mettait ses bonds légers ;
Et, pitoyable autant que féroce et sauvage,
Tu fixas dans cet être, à jamais ravagé,
La bonté de tes mains et l’air de ton visage…