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Voilà ce qui m’effraie et comble de douleur
Une âme à présent sans fierté.
— Car j’ai vraiment rendu de suffisants honneurs
Aux cieux inhumains de l’été !…
Voilà ce qui m’effraie et comble de douleur
Une âme à présent sans fierté.
— Car j’ai vraiment rendu de suffisants honneurs
Aux cieux inhumains de l’été !…