Page:Nodier - Smarra ou les démons de la nuit, 1822.djvu/209

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

LA LUCIOLE.


*

Déja l’humide nuit déploye le vol immense de ses ailes silencieuses, et le chœur mystérieux des astres, complice des tendres larcins de l’amour, commence une danse magique dans les plaines du ciel.

*

Moi qui ne pense qu’à ma belle, je profite de l’obscurité naissante pour me glisser à travers les ombres de la