Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, VII.djvu/1503

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ZOOGLÉIQUE ZOLAPREDOSA à il se constituait l'arlent défenseur du condamné. Il fut saivi la mémo pour cette publication et, après un preces retentissant, il fut condamné à un an de prison et francs d'amende. Il s'exila alors quelque temps en gleterre et regagna la France en jula 1899, quand la sia da proces Dreyfus fat résolue. Il mourut acci- tellement, en 1973, asphyxié par les émanations d'une chensée. Outre son oeuvre romanesque, qui est considé- rahie et à laquelle il faut joindre encore quelques volumes de nouvelles les Soirées de Médan, le Capitaine Burle, Nais Miculin, Zola s'est essayé au théâtre, avec Thérèse Ra- quis, drame (1873); les Héritiers Rabourdin, comédie (1874), et le losion de rose, comédie (1874): mais il ne persista pas dans cette voia. W. Busuach a fait représenter quelques pieces tirées des principaux romans des Rougon Macquart: Assommair, Nana, la Terre, etc. Zola a aussi laissé quel- goes livres de critique assez importants: la République et fa tirature (1879); le Roman expérimental (1880); les Ro- manciers saturalistes (1881); Nos auteurs dramatiques (1881); Documents littéraires (1881); etc., qui soulevèrent de vives polémiques. Nul romancier moderne n'a été plus lu en France et à l'étranger. Souvent contesté, à cause des outrances systématiques de son style, et de la licence de ses peintures, Zola tient une large place dans l'his- toire de roman français. ZOLAPREDOSA, comm, d'Italie (Emilie [prov. de Bo- logne; 5.400 hab. Vins estimés. ZOLDER, comm. de Belgique (Limbourg [arrond. de Hasselt), war le Mangel-Beek; 2.200 bab. ZOLKIEW, ville d'Austro-Hongrie (Galicie), ch.-1. de cercle es de district, sur la Swinia, tributaire de la Rata; 7.145 hab. Tanneries: brasserie. Eglise gothique renfer- mant les tombeaux des familles Sobieski et Zolkiewski. Ancien château ayant servi de résidence au roi de Po- logue Jean Sobieski. ZOLKIEWSKI (Stanislas), général polonais, né en 1547, près de Zelkiew (Galicie), mort en 1620. Après avoir fait son éducation à Lemberg, il se distingua dans les guerres contre les Russes, les Turcs et les Suédois. En 1610, il fut appelé au commandement de l'armée envoyée contre les Russes. Il s'empara de Moscou, conclut avec les boyars un traité, d'après lequel le fils de Sigismond, Wladyslaw, devait être élevé au trône. Mais Sigismond, mal conseillé et jaloux de la gloire de son général, refusa de ratifier le traité, Zolkiewski, voyant ses services mé- cooons, résigna le commandement aux mains de Chod- kiewicz. En 1617, il reçut enfin le titre de grand général et fut envoyé sur les frontières pour repousser les Turcs et les Tatars. Après plusieurs combats acharnés, il dut con- clare, la même année, à Busza, un traité par lequel la Moldavie et la Valachie étaient cédées aux Turcs. En 1620, il fat de nouveau envoyé en Valachie et reçut l'ordre de franchir le Daiester. Pendant huit jours, il se maintint à Cecora, sur les bords du Dniester, mais enfin, il périt avec la plus grande partie de l'armée polonaise. Sobieski, son petit-5ls, devait le venger. ZOLL n. m. En Prusse, Mesure de longueur (0,0261). ZOLLERNIE (ro-lèr-ni) n. f. Genre de légumineuses césalpiniées, de la tribu des tounatées. ENCYCL. Les zolleraies ou coqueberties sont des plantes brésiliennes, caractérisées par leurs feuilles uni- foliolées et leurs fleurs présentant un androcée de neuf à treize étamines, et un ovaire multiovulé surmonté d'un style assez court. Les espèces sont la zollernie à feuilles de Aour et la zollernie en faut. ZOLLIKOFER (Georges-Joachim), prédicateur protes- tant suisse, né à Saint-Gall en 1730, mort à Leipzig en 1788.. Il fut nommé pasteur dans la communauté calviniste de Leipzig en 1752 et fut le premier prédicateur de son époque. On connalt de lui deux cent cinquante sermons, dont la plas nde partie ont été publiés par lui-même de 1789 à 1804, et réunis après sa mort, sous ce titre: Sermons complets de Zollikofer (1789-1804). ZOLLINGERIE (je-ri) n. f. Genre de sapindacées com- prenant des arbres de Chine et de Birmanie. ZOLLVEREIN (mot allem.; de zoll, douane, et verein, saion) n. m. Union douanière allemande. Excrct. Comme on l'a vu à l'article ALLEMAGNE, ce pays était partagé en une quantité d'Etats indépendants, qui tous avaient leurs barrières douanières propres, ce qui constituait une entrave au développement du com- merce. Os prête à tort à Frédéric List 1'idée d'une union douanière allemande, idée qu'il aurait propagée à la foire de Francfort-sur-le-Mein en 1819. Elle existait en effet, en germe, dans les statuts de la Confédération germa- nique et elle avait été réalisée, dès le 26 mai 1818, par la Prusse (alors fractionnée en plusieurs morceaux), qui abolit ses douanes intérieures, puis, de proche en proche, attira dans sa sphère les principautés et Etats voisins. Le 1 Janvier 1834, était constitué le Deutscher Zollve- reis, qui engloba presque tous les Etats allemands; les plus récalcitrants finirent par y adhérer (Bade, Nassau, Francfort en 1836; Brunswick, Lippe, Luxembourg en 1842: Hanovre, Oldenbourg en 1851). On conçoit combien l'union économique était de nature á favoriser l'union po- litique. En 1840, la Prusse avait constitué, sous sa prési- dence, un parlement douanier où délibéraient les délé- gués de l'Allemagne du Nord et de l'Allemagne du Sud. En 1871, elle avait réalisé l'unité allemande. ZOLOTCHEF, ville de Russie (gouv. de Kharkof), sur 10uda; 5.400 hab. ZOLOTNIK n. m. Poids de Rassie, valant 4 gr., 26. ZOLOTONOCHA, ville de Rassie (gouv. de Poltava); 9.000 hab. Ch.-1. de district. Tannerie; fabriques de chan- delles. ZOLOTTA n. m. Monnaie d argent turque, valant 2 fr. 64. ZOLTAN ou ZULTAN, chef des Hongrois, fils d'Arpad, mort en 917. Il succéda à son père en 907, ravagea à peu près tous les Etats de l'Europe centrale, la Suisse. Italie du Nord, et pénétra en France jusqu'à Reims. Enfin, en 955, l'empereur Othon marcha contre les Ma- gyars en Souabe, les rencontra sur le Lech, remporta sur eux une sanglante victoire. Zoltan se concentra désormais dans ses Etats. ZOLYOM ou O-ZOLYOM (allem. Altsohl), ville d'Aus- tro-Hongrie (Hongrie), chef-lieu d'un district du comitat de Zolyom, sur le Gran, affluent du Danube; 5,500 hab. Distilleries, scieries mécaniques, fonderie de fer. Sources minérales et établissement de bains. ZOLYOM, comitat de Hongrie. V. SOHL. ZOMBI (201- probablem. de zambi) n. m. Revenant, fantôme dans le langage créole des Antilles. ZOMBIANE (con) a. f. Genre de myoporacées. (La zom- biane africaine de l'Afrique occidentale est un arbrisseau caractérisé par des fleurs à corolle à peu près régulière et par des fruits drupacés à quatre noyaux.) ZOMBOR, ville d'Austro-Hongrie méridionale, ch.-1. du comitat de Bacs-Bodrog, dans une vaste plaine, au N. du canal François, qui unit le Danube à la Tisza; 26.435 hab. Magnaneries. Commerce de céréales, de bétail. ZOMIDINE n. f. Chim. Syn. de OSMAZOME. ZOMOTHERAPIE (pi- du gr. zómos, jus, et thé- rapeia, traitement) n. f. Méthode de traitement imaginée par Ch. Richet et Héricourt contre la tuberculose, et qui consiste à administrer, à doses considérables (de 200 à 1.000 gr. et au delà), le plasma musculaire ou jus exprimé de la viande fraiche après macération dans l'eau salée. ZON n. m. Onomatopée qui rend un bruit d'instruments à cordes, une résonance dans l'air, etc.: Zox! flûte et basse... et violon, zon, zoN! (Béranger.) ZONA (du lat. zona; gr. zóné, ceinture) n. m. Affection de la peau, caractérisée par des éruptions vésiculeuses localisées sur le trajet des nerfs de la sensibilité. - ENCYCL. Le zona affecte principalement le tronc, les membres inférieurs, le visage plus rarement; le zona oph- talmique est la forme la plus rare et la plus grave à cause des complications oculaires; le zona intercostal est la forme habituelle, bénigne. Les vésicules, de la grosseur d'un grain de millet et entourées d'une zone rouge, sont groupées sur le trajet des nerfs sensibles, d'un seul côté du corps; elles s'affaissent et se rompent au bout d'une huitaine de jours et donnent une croûte qui laisse après elle une tache brunâtre. Souvent, l'éruption est accompa- gnée, et parfois même précédée de douleurs névralgiques intenses, lesquelles, d'ailleurs, peuvent encore persister après la fin de l'éruption. Le zona s'observe chez les per- sonnes atteintes de troubles gastro-intestinaux, chez les anémiques, les paludéens, les syphilitiques; on lui at- tribuait autrefois une origine trophique; on tend à admet- tre aujourd'hui une origine parasitaire ou infectieuse. Le traitement local consiste en applications d'eau bori- quée, pansements à l'acide picrique ou application de poudres isolantes (talc), avec enveloppement ouaté. On peut employer, quand les vésicules sèchent, la vaseline cocaïnée et boriquée. Contre la douleur, la compression, l'électrisation, les pulvérisations analgésiques, ou bien à l'intérieur la phénacétine, le pyramidon, au besoin même la morphine en injections sous-cutanées. Contre la zona ophtalmique, la saignée autour du point d'émergence du nerf nasal externe, les compresses chaudes à l'acétate de plomb et à l'alun, l'électricité par courants continus don- nent de bons résultats. Comme traitement général, purga- tifs, diurétiques, diète lactée ou lacto-végétarienne : quin- quina, préparations martiales chez les anémiques; qui- nine chez les paludéens; iodure de potassium ou mercure chez les syphilitiques. ZONAIRE (nèr') n. m. Genre d'insectes coléoptères cla- vicornes, famille des érotylidés, répandus dans l'Amérique tropicale. ZONAL, ALE, AUX (du lat. zona, zone) adj. Hist. nat. Qui a des bandes transversales colorées: Spondyle ZONAL. ZONARAS (Jean), chroniqueur byzantin du XIIe siècle. D'abord grand drongaire de la veille et protoasecretis, il entra ensuite au cloître et composa un Manuel d'histoire universelle, qui va de l'origine du monde à l'an 1118. Cet ouvrage surtout important par les sources, aujourd'hui perdues, que Zonaras a consultées, est assez agréablement écrit. On attribue à Zonaras des écrits théologiques. Le Lexique mis sous son nom n'est sans doute pas de lui. La Chronique de Zonaras est publiée dans la Byzantine de Bonn (1841-1897) et chez Teubner (éd. Dindorf). ZONE (du lat. zona; gr. zóne, ceinture) n. f. Géogr. Espace compris entre deux cercles parallèles tracés sur une sphère Les deux degrés de latitude divisent la terre, d'un pôle à l'autre, en 180 ZONES. 1 Nom donné à cinq divi- sions de la terre déterminées par les pôles, les cercles po- laires et les tropiques. Il Nom donné aux parties du ciel qui correspondent aux zones de la terre. Zone torride, Espace compris entre les deux tropiques. 1 Zones glaciales, Espaces compris entre chacun des pôles et le cercle po- laire le plus voisin. | Zones tempérées, Espaces compris entre les tropiques et les cercles polaires. Par ext. Espace de pays long et étroit, caractérisé par quelque circonstance particulière: La zoNE comprise entre les boulevards intérieurs et extérieurs de Paris est la plus vivante. Fig. Région morale: classe d'objets ou de personnes, considérée comme un terrain déterminé: Deux ZONES sociales constamment ennemies en tous lieur. (Balz.) -Admin. Etendue de pays formant une division: ZONK douanière, poatale. Zone frontière, Bande de terri- toire longeant la frontière et soumise à certaines obliga- tions, dans l'intérêt de la défense nationale. Zone mi- litaire, Espace de terrain appartenant à l'Etat, dans les fortifications des places de guerre. Zone des servitudes militaires, Espace de terrain, autour des places de guerre, sur lequel il est défendu de bâtir et de faire des travaux de déblai ou de terrassement. V. SERVITUDE. Anat. Zone tendineuse, Cercle blanchâtre qui se voit autour de l'orifice auriculo-ventriculaire du côté droit du cœur. Zone transparente, Enveloppe du vitellus. -Géom. Portion de la surface d'une sphère, comprise entre deux plans parallèles. Mar. Espace vide qui peut se trouver entre deux tours de cordage enroulés sur un guindeau ou treuil. -Géol. et minér. Bande formée par l'épaisseur des couches, visible à l'extérieur : Les zoNEs de l'onyx. -Mécan. Espace vide, compris entre deux spires d'une corde enroulée sur un cylindre. - Milit. Zone dangereuse, Partie de la portée d'une arme à feu sur laquelle ses projectiles sont dangereux pour les troupes contre lesquelles ils sont tirés. - ENCYCL. Géom. La zone est à une base, et prend le nom de calotte sphérique quand un des plans qui la 1426 limitent est tangent à la sphère. La distance des deux plans parallèles est appelée hauteur de la zone. L'aire de la zone a pour mesure le produit des mesures de cette hauteur et de la circonférence d'un grand cercle 2-RH. -Milit. Zone militaire. En principe, il existe autour de chaque place ou poste trois zones consécutives dites de servitude (v. ce mot), et qui commen- cent toutes aux fortifications, c'est- à-dire qu'elles ont pour point de dé- part la crête même des parapets des chemins couverts les plus avancés ou des murs de clôture et d'escarpe, lorsqu'il n'y a pas de chemins cou- verts, ou enfin, quand il n'y a ni chemin couvert, ni mur de clôture ou d'escarpe, à partir du mur de la créte inté- rieure des parapets des ouvrages. Ces trois zones s'éten- dent respectivement jusqu'à des distances de 250 mètres, 487 mètres et 974 mètres, mesurés sur les capitales (v. ce mot) de l'enceinte du dehors ou des ouvrages extérieurs. Dans la première zone, il ne peut être fait aucune construc- tion, ni plantation d'arbres, d'arbustes ou de haies vives. Dans la deuxième zone, on peut exécuter des construc- tions en bois et en terre, mais sans pierre, briques, chaux ou plâtre autrement qu'en crépissage et à charge de les démolir sans indemnité et en enlevant les matériaux à la première réquisition de l'autorité militaire. Toutefois, autour des places dites de la deuxième sé- rie» et dans les simples postes, l'élévation de construc- tions quelconques, mais aux mêmes conditions, est per- mise dans cette deuxième zone. Zone. Dans la troisième zone, enfin, aucun chemin, aucune levée ni chaussée, aucun exhaussement ou fouille de ter- rain, aucune construction au-dessous du sol, ni même au- cun dépôt de matériaux ou autres objets ne peuvent avoir lieu sans que leur alignement et leur position aient été concertés avec les officiers du génie et que le ministre de la guerre ait, en conséquence, déterminé les conditions auxquelles les travaux doivent être assujettis. Admin. La zone frontière a pour limite extérieure les Etats voisins ou la mer et pour limite intérieure une série de cours d'eau et de routes nationales ou départe- tementales, ou même de chemins vicinaux. Un certain nombre de travaux ne peuvent y être exécutés qu'après examen de la commission des travaux publics, quí siège à Paris, au dépôt des fortifications. ZONÉ, ÉE (rad. zone) adj. Hist. nat. Qui a des bandes concentriques colorées: Telline ZONÉE. ZONGOLICA, ville du Mexique (Etat de Vera Cruz), ch.-1. de district; 5.000 hab. ZONHOVEN, comm. de Belgique (Limbourg [arrond, de Hasselt]), sur le Roster-Beek; 2.920 hab. Métallurgie ZONIFORME (de zone, et forme) adj. Hist. nat. Qui a la forme d'une ceinture. ZONITE n. f. Métall. Cadmie des fourneaux disposée en zone. ZONITE n. m. Genre de mollusques gastéropodes pul- monés, famille des limacidés, propres à l'hémisphère nord. ZONITIS (liss) n. m. Genre d'insectes coléoptères hété- romères, tribu des lyttinés, répandus sur tout le globe. (Le zonitis mutica se trouve dans le midi de la France.) ZONNAS (son'-nass) n. m. En Orient, Large ceinture de cuir. ZONNEBEKE, comm. de Belgique (Flandre-Occidentale [arrond. d'Ypres]), sur le Haenne-Beek; 3.904 hab. ZONOSAURE (sór') n. m. Genre de reptiles sauriens, fa- mille des ptychopleuridés, propres à Madagascar. ZONOSOME n. m. Genre d'insectes lépidoptères, famille des géométridés, propres à l'hémisphère nord. ZONOTRICHIE (ki) n. f. Genre d'algues filamenteuses ri- vulariées, qui croissent dans les eaux douces et saumâtres. - Zool. Genre d'oiseaux passereaux, tribu des passerel- linés, répandus dans le nouveau monde. ZONURE n. m. Genre de reptiles sauriens, type d'une fa- mille dite des zonuridés, et propres à l'Afrique méridionale. ZONZA, comm. de la Corse, arrond. et à 35 kilom, de Sartène, près de la rivière homonyme, affluent du Tavaria; 1.511 hab. Scieries, commerce de céréales et de châ- taignes. ZOOBIOLOGIE (ji-du gr. zoon, animal; bios, vie, et lo- discours) n. f. Biologie des animaux. ZOOBIOLOGIQUE (jik') adj. Qui appartient ou qui se rapporte à la zoobiologie: Etudes ZooBIOLOGIQUES. gos, ZOOCÉCIDIE (si-di) n. f. Déformation produite par un animal sur une plante vivante. (Les galles des cynips ap- partiennent à la catégorie des zoocécidies.) ZOOCHIMIE n. f. Syn. de CHIMIE animale. ZOOCHIMIQUE (mik') adj. Qui appartient ou qui se rapporte à la zoochimie: Etudes ZooCHIMIQUES. ZOOCHLORELLE (klo-rèl') n. f. Algue parasite, qui se rencontre sur les animaux inférieurs. ZOOCHRÉSIE (kré-zi- du gr. zoon, animal, et krésis, usage) n. f. Dans la classification d'Ampère, Science qui a pour but l'élève et l'utilisation des animaux. ZOOCHRESTIQUE (krè-stik') adj. Qui a rapport à la zoochrésie: Méthodes zooCHRESTIQUES. ZOOCLADIE n. f. Infus. Syn. de ZOOTHAMNIE. ZOOGENE (jèn' - du gr. zoon, animal, et gennán, pro- duire). Chim. Syn. impropre de BARÉGINE. 1 ZOOGÉNIE (jé-ni - du gr. zoon, animal, et génésis, origine) n. f. Partie de la zoologie qui traite du dévelop- pement progressif des animaux et de leurs organes. On dit aussi zooGONIE, et ZOOGONOLOGIE. ZOOGÉNIQUE (jé-nik) adj. Qui appartient ou qui se rapporte à la zoogénie: Etudes ZooGÉNIQUES. ZOOGLÉE (du gr. zoon, animal, et gloios, matière vis- queuse) n. f. Réunion de microbes et spécialement de bac- téries, dont les éléments sont maintenus agglutinés par une substance plus ou moins visqueuse. ZOOGLÉIQUE (ik) adj. Qui se rapporte à la zooglée : Agglomération ZOOGLÉIQUE.