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1427 ZOOGLYPHITE (du gr. zoon, animal, et gluphé, gravure) n. m. Empreinte d'animal fossile. ZOOGONE (du gr. zodgonos, vivifiant; de zoon, animal, et gonos, génération) adj. m. Mythol. gr. Epithète de Jupiter. - n. m. Titre donné aux díeux protecteurs des animaux. ZOOGONIE n. f. Zool. V. ZOOGÉNIE. ZOOGONIQUE (nik) adj. Qui a rapport à la zoogonie. On dit aussi ZOOGONOLOGIQUE. ZOOGONOLOGIE n. f. Zool. Syn. de zooGÉNIE. ZOOGRAPHE (du gr. zoon, animal, et graphein, décrire) n. m. Auteur d'une zoographie; naturaliste qui s'occupe de cette science. Antiq. Peintre d'animaux, animalier. ZOOGRAPHIE (fi - rad. zoographe) n. f. Partie de la zoologie qui s'occupe de la description des diverses es- pèces d'animaux. Art de représenter les animaux et leurs organes un Antiq. Peinture d'animaux. ZOOGRAPHIQUE (fik') adj. Qui appartient ou qui se rap- porte à la zoographie Etudes ZOOGRAPHIQUES. - Diplom. Lettres zoographiques, Lettres formées de figures d'animaux diversement agencées. Techn. Tale zoographique, Talc employé par les peintres. ZOOGREFFE n. f. Zootechn. Syn. de GREFFE animale. ZOOHÉMATINE n. f. Chim. Syn. de HÉMATINE. ZOOÏATRE (du gr. zoon, animal, et iatros, médecin) n. m. Médecin vétérinaire. (Peu us.) ZOOÏATRIE (tri - rad. zooiâtre) n. f. Médecine vétéri naire. (Peu us.) ZOOIATRIQUE (trik') adj. Qui a rapport à la zooïatrie : Système zooÏATRIQUE. ZOOÏDE (du gr. zoon, animal, et eidos, aspect) adj. Minér. Qui porte une figure d'animal ou de quelqu'une des parties d'un animal: Minéraux zooÏDES. ZOOLÂTRE (du gr. zoon, animal, et latreia, culte) n. et adj. Adorateur d'animaux: Les Egyptiens étaient ZOOLÂTRES. ZOOLÂTRIE (tri- rad. zoolâtre) n. f. Adoration des animaux. - ZOOLÂTRIQUE (trik) adj. Qui a rapport à la zoolâtrie, qui est basé sur la zoolâtrie: Religion ZOOLATRIQUE. ZOOLIQUE (lik'- du gr. soon, animal) adj. Mécan. Qui est mu par une force animale: Machine zooLIQUE. ZOOLITE (du gr. zoon, animal, et lithos, pierre) n. m. Nom vulgaire de diverses parties d'animaux fossiles ou pétrifiées: L'ivoire fossile et les turquoises sont des espèces de zooLITES. (V. de Bomare.) I L'Acad. écrit ZOOLITHE. ZOOLITIFÈRE (de zoolite, et du lat. ferre, porter) adj. Minér. Qui contient des débris d'animaux fossiles. | On écrit aussi zOOLITHIFÈRE. ZOOLITIQUE (tik') adj. Qui contient des zoolites: Roches ZOOLITIQUES. Qui ressemble, qui a rapport aux zoolites : Fossiles ZOOLITIQUES. 1 On écrit aussi zooLITHIQUE. ZOOLOGICAL GARDEN (Jardin zoologique), à Londres, au nord-est de Regent's Park. Fondé en 1828 par la Zoo- logical Society (instituée en 1826), il contient de belles collections d'animaux. Le Jardin botanique se trouve dans la partie méridionale de Regent's Park. ZOOLOGIE (ji- du gr. zoon, animal, et logos, discours) n. f. Branche de l'histoire naturelle qui traite des animaux. ENCYCL. La zoologie est la partie des sciences natu- relles qui traite des animaux. Quand elle s'en tient à leur description extérieure, elle est dite descriptive; quand elle s'attache à répartir les êtres par catégories ordon- nées, elle est dite systématique; quand elle comprend l'étude de l'organisme examiné dans ses diverses parties, elle constitue l'anatomie; quand elle n'envisage que les tissus, elle porte le nom d'histologie; quand elle suit le développement de l'être dans son développement premier, dès l'oeuf, c'est l'embryologie. La même étude des êtres dans toutes les manifestations de la vie se nomme bio- logie. La biologie renferme donc en elle seule la majorité des connaissances zoologiques, et elle s'appuie d'abord sur la zoologie systématique, puisque, avant d'étudier l'organisation, le développement et le fonctionnement d'un être, il convient d'abord de le rapporter exactement à une des catégories de la classification, en partant de l'em- branchement pour arriver à l'espèce. De celle-ci, l'histoire évolutive constitue cette science toute moderne qui est le transformisme et qui, quelle que soit l'opinion que l'on s'en forme, a été la source des plus grands progrès qu'ait faits la zoologie en ces derniers temps. La partie de la zoologie philosophique qui étudie la filiation des formes est appelée phylogénie. La zoologie se divise en sept branches principales, qui sont la mammalogie ou étude des mammifères; l'orni- thologie, étude des oiseaux; l'erpétologie, étude des rep- tiles; l'ichtyologie, étude des poissons; la malacologie et l'helmintologie, qui embrassent l'étude des mollusques, des vers et autres animaux dits inférieurs; l'entomologie, consacrée aux animaux articulés. Aujourd'hui, la seule zoologie descriptive est devenue une des sciences les plus compliquées et dont un homme, pour savant qu'il soit, ne peut posséder qu'une connais- sance très générale, à moins de se consacrer à un groupe très restreint d'animaux, à une classe d'êtres, tout au plus, quand ce n'est pas à une simple famille; car, depuis les découvertes géographiques dont la fin du XIX siècle a multiplié la quantité, presque toutes les régions du globe ont été scientifiquement explorées, et le nombre des espèces animales connues se chiffre par centaines de mille, dûment décrites dans des monographies et énumé- rées dans des catalogues. La vie de plusieurs hommes se passerait rien que dans le recensement de ces travaux de détail; mais l'on peut dire que la distribution géographi- que des animaux terrestres, marins ou d'eau douce, est maintenant bien connue, et l'on a même inventorié ceux qui habitent les plus grandes profondeurs de la mer ou des abysses et les cavernes de la terre. Les anciens ne possédaient pour ainsi dire rien de ces notions précises. Lorsqu'au livre des Rois il est dit que Salomon a parlé des bêtes, des oiseaux, des reptiles et des poissons (Rois, I. C. IV, § 33), on doit entendre par là, avec Renan, qu'il s'agit de moralités tirées des ani- maux et des plantes, analogues à celles que nous lisons ZOOGLYPHITE ZOOPHYTOIDE thurioldes. ECHINODERMES-4 classes: crinotdes, astéroldes, échinotdes, holo- VERS. 5 classes: plathelminthes, némathelminthes, rotateurs, giphyriens, annelides. ARTHROPODES. 5 classes: crustacés, arachnides, myriopodes, ony chophores, insectes, MOLLUSQUES, & classes: lamellibranches, scaphopodes, ptéropo- des, gastéropodes, céphalopodes. MOLLUSCOIDES. 2 classes: bryozoaires, brachiopodes. TUNICIERS. 2 classes: ascidies ou téthyodes, salpes ou thaliacés. VERTEBRIS, 5 classes: poissons, amphibiens ou batraciens, rep- tiles, oiseaux, mammiferes. dans les proverbes... L'idée d'une science descriptive de la nature est restée étrangère aux peuples sémitiques jusqu'à leur contact avec l'esprit grec.. La civilisation hellénique était trop portée vers les spéculations philosophiques et les généralités pour pro- duire des travaux zoologiques coordonnés avec un esprit de système. Et cependant, Aristote fonda, on peut le dire, la zoologie rationnelle, en réunissant les types animaux connus de son temps en huit catégories ou groupes ren- trant dans deux grandes coupes : les animaux pourvus de sang et les animaux exsangues, coupes répondant à nos deux divisions des vertébrés et des invertébrés. Mais, si le grand philosophe de Stagyre sut établir un tableau grandiose et harmonieux des étres vivants, il ne se soucia pas de définir les catégories ou, pour mieux dire, ces uni- versaux zoologiques qui sont le genre et l'espèce. Tout le moyen âge vécut sur Aristote et aussi sur la compi- lation désordonnée de Pline l'Ancien, sans s'adonner aux moindres recherches. L'esprit scolastique étouffa dans le monde civilisé toute manifestation scientifique, excepté l'alchimie, qui se développa parmi les nécessités des fal- sifications industrielles. Aussi ne doit-on citer que pour mémoire les recueils de l'évêque Isidore de Séville (VII s.) et d'Albert le Grand (XI s.), quoique ce dernier puisse être revendiqué par l'école expérimentale comme son plus vénérable précurseur. En somme, le moyen âge rendit un seul service à la science: celui de conserver les manuscrits de l'antiquité. Avec le xvI siècle, vient le réveil de l'esprit humain; voyageurs et naturalistes apparaissent, récoltant et dé- crivant les animaux d'une façon méthodique. Beaucoup de vieux auteurs adoptent la terminologie binominale, c'est-à-dire le nom de genre précédant le nom d'espèce. Aldrovande, Gessner, Wotton, Belon, Rondelet sont les principaux naturalistes de cette grande époque. Contem- porains des grands médecins et des physiologistes, méde- cins pour la plupart, ils ne négligent l'anatomie et la physiologie non plus que les André Vésale, les Ambroise Paré, les Fabrice d'Acquapendente, etc. Ou bien ce sont des voyageurs comme Oviedo, qui décrit les animaux de l'Amérique du Sud, etc. La brusque revanche que prend au XVIIe siècle l'esprit scolastique étouffe cette floraison scientifique : ce sont surtout les physiologistes et aussi les biologistes qui brillent: Swammerdam l'anatomiste des insectes, Leeu- wenhoek et Malpighi qui font, les premiers, usage du mi- croscope. La France ne compte point de naturaliste digne de ce nom; il lui faut attendre jusqu'au xvII siècle pour posséder un Réaumur et un Buffon. Le premier fut avant tout un observateur ingénieux des moeurs des insectes et de leur développement; le second un peintre brillant de la nature, mais sans observation ni méthode. Si la philo- sophie peut réclamer en Buffon un des protagonistes de la doctrine transformiste, la zoologie ne lui doit presque rien, tandis qu'elle naissait, pour la systématique, en Suède à la même époque, sous la plume de Linné, quand il écrivait son Système de la nature (1758). Buffon ne pro- fita en rien des travaux de Linné; il négligea d'appliquer aux animaux qu'il décrivait la terminologie linnéenne, universellement adoptée dans le monde savant et qui a cours encore aujourd'hui. Mais, si la France demeurait retardataire, en Allemagne, en Angleterre, la zoologie commençait à briller d'un vif éclat; à Londres se for- maient des sociétés savantes, dont une devait produire les plus grands naturalistes anglais, tels que R. Owen (1800-1892); c'est le collège des Chirurgiens qui compta le célèbre Ray parmi ses membres. Avec la Révolution, apparaît l'âge héroïque de la zoo- logie française. Il coïncide avec la fondation du Museum d'histoire naturelle où les Geoffroy Saint-Hilaire, les La- marck, les Latreille, les Lacépède, les Cuvier, professent, travaillent et écrivent. La zoologie moderne date de Georges Cuvier. Aujourd'hui encore, la plupart de ses théories scientifiques prévalent, et dans sa répartition du règne animal par embranchements, on n'a apporté aucun changement essentiel. L'oeuvre de Cuvier fut continué par ses successeurs et ses élèves: Blainville, Duméril, Audouin, Valenciennes, Milne-Edwards. La place de celui-ci est preponderante pour la zoologie générale, qu'il appuya sur l'embryologie en montrant toute l'importance des phases évolutives par lesquelles passe un être au cours de son développement. Ses Leçons d'anatomie et de physiologie sont l'honneur de la zoologie française. En même temps, la zoologie descriptive s'enrichissait de tou- tes les descriptions d'animaux étudiés et récoltés au cours des grands voyages de circumnavigation que la marine entreprenait dans un intérêt hydrographique. Les voya- ges de la Favorite, de la Coquille, de l'Astrolabe et de la Zélée, de la Magicienne, de la Bonite, de l'Uranie ont illustré les noms de Dumont d'Urville, Freycinet, Baudin, Lesson et Garnot, Péron et Lesueur, Hombron et Jac- quinot, etc. Delalande explore l'Afrique australe, Lebas l'Amérique équatoriale, Duvaucel et Diard l'Inde et la Malaisie, Jacquemont le Cachemire, Dussumier l'océan Indien, Goudot Madagascar. Ainsi jusqu'à la fin du règne de Louis-Philippe la zoologie progressa, et ses progrès n'ont point cessé jusqu'à nos jours. Si le transformisme, les découvertes géographiques et paléontologiques ont permis d'éclaircir bien des points, si la facilité des obser- vations a augmenté grâce à un meilleur outillage, à une technique plus parfaite, et aux travaux publiés, on peut dire et répéter que rien d'essentiel n'a été changé dans le système de classification de Cuvier, encore que vieux maintenant d'un siècle. L'école de Darwin a aitaqué la notion des universaux zoologiques, ressuscitant la vieille querelle des réalistes et des nominalistes, mais elle n'a modifié en rien les règles de classification que l'observa- tion humaine a pu jusqu'ici établir. Rien ne nous éclaire sur l'apparition des espèces, mais, par contre, nous enre- gistrons plus d'une espèce qui disparait devant la marche continuelle de l'homme. Et parmi toutes les espèces nou- velles, que nous livrent journellement les pays récemment pénétrés ou les profondeurs abyssales des océans, aucune n'apparait pour nous donner la clef d'un problème que l'homme ne résoudra probablement jamais. La classification que nous donnons ici, la plus générale- ment adoptée, est presque identique, dans ses grandes lignes, à celle que Cuvier établit en 1812. Elle comprend neuf embranchements: PROTOZOAIRES. 4 classes: amabiens, grégariniens, rhizopodes, infusoires. COLENTERÉS. 2 sous-embranchements: cnidaires, spongiaires. - ZOOLOGIQUE (jik') adj. Qui a rapport à la zoologie ou aux animaux: Etude zooLOGIQUE. Famille ZOOLOGIQUE. ZOOLOGIQUEMENT (ke) adv. Au point de vue de la zoo- logie. ZOOLOGISTE (jisst) n. m. Celui qui s'occupe de zoolo- gie, qui est versé dans cette science: De savants zooLo- GISTES. ZOOLOGOGRAPHE (de zoologie, et du gr. graphein, écrire) n. m. Celui qui écrit sur la zoologie. (Peu us.) ZOOLOGOGRAPHIE (/i- - rad. zoolographe) n. f. Art d'écrire sur la zoologie. Traité de la zoologie. (Peu us.) ZOOLOGOGRAPHIQUE (fik) adj. Qui a rapport à la zoolo- gographie: Science ZOOLOGRAPHIQUE ZOOLOGUE n. m. Syn. pen us. de ZOOLOGISTE ZOOMAGNÉTIQUE (du gr. zoon, animal. et de magnétique) adj. Qui a rapport au magnétisme animal: Fluide zooMA- GNETIQUE. ZOOMAGNÉTISME (da gr. zoon, animal, et de magné- tisme) n. m. Magnétisme animal. (Peu us.) ZOOMANCIE (of-dugr. zoon, animal, et manteia, divina- tion) n. f. Divination au moyen des animaux. ZOOMORPHE (du gr. zoon, animal, et morphè, forme) adj. Astrol. Signes soomorphes, Sigues du zodiaque dont le symbolisme est un animal, comme le bélier, le taureau, etc. ZOOMORPHIE (/i-même étymol. qu'à l'art. précéd.) n. f. Partie de la zoologie, qui traite des formes exté- rieures des animaux. (Peu us.) ZOOMORPHIQUE (fik) adj. Qui appartient ou qui se rapporte à la zoomorphie: Etudes ZooMORPHIQUES. ZOOMORPHISME (fisam-du gr. zdon, animal, et morphè, forme) n. m. Métamorphose en animal. 1 Croyance super- stitieuse d'après laquelle certains hommes auraient la fa- culté de se transformer en animaux. ZOOMORPHITE n. f. Minér. Syn. de zooLITE. ZOOMORPHOSE (du gr. zoon, animal, et morphè, forme) n. f. Nom employé par les anciens auteurs pour dési- gner la partie de la zoologie qui s'occupe de la descrip- tion des animaux contenus dans les coquilles. ZOONATE n. m. Chim. Syn. de ACETATE. ZOONGARES ou TCHOROSSES. Ethnol. V. KALMOUKS. ZOONIQUE (nik du gr. zoon, animal) adj. Chim. So dit quelquefois pour ACETIQUE. ZOONITE (du gr. zoon, animal) n. m. Biol. Méride qui entre dans la constitution du corps des animaux segmentés, annélides, arthropodes, vertébrés. V. COLONIES animales, et METAMÈRE. ZOONOMIE (mi-du gr. zoon, animal, et nomos, loi) n. f. Ensemble des lois qui régissent la vie animale. ZOONOMIQUE (mik) adj. Qui a rapport à la zoonomie. ZOONOMISTE (miast) n. m. Savant qui s'occupe de zoonomie. Adjectiv.: Naturaliste zooNOMISTE. ZOONOSOLOGIE (ji-dugr. z6on, animal, et de nosologie) n. f. Pathologie animale, connaissance des maladies des animaux. On dit aussi zooPATHOLOGIE. ZOONOSOLOGIQUE (jik') adj. Qui a rapport à la zoono- sologie. On dit aussi ZooPATHOLOGIQUE. ZOOPÉDIE (di - du gr. zoon, animal, et paideia, éduca- tion) n. f. Education des animaux domestiques. ZOOPHAGE (faj du gr. z6on, animal, et phagein, manger) n. m. et adj. Zool. Se dit des animaux qui se nour- rissent de matières animales, notamment de certaines mouches, et d'une grande division des mollusques trachéli- podes: Les zooPHAGES. Les animauz ZOOPHAGES. ZOOPHAGIE (j) n. f. Instinct qui pousse certains ani- maux à se nourrir de matières animales. ZOOPHAGIQUE (jik') adj. Qui a rapport à la zoopha- gie: Habitudes ZOOPHAGIQUES. ZOOPHORE (du gr. zoon, animal, et phoros, qui porte) n. m. Archit. Nom ancien de la frise de l'entablement, partie autrefois chargée de figures d'animaux. Astron. Ancien nom du zopDIAQUE. ZOOPHORIQUE (rik'- même étymol. qu'à l'art. précéd.) adj. Archit. Qui sert de support à une figure d'animal: Colonne zooPHORIQUE. ZOOPHYTAIRE (ter- rad. zoophyte) adj. Zool. Se dit des animaux dont la forme rappelle plus ou moins celle d'une plante. Qui a la forme d'un zoophyte. -n. m. pl. Zooph. Classe de polypes actinozoaires. - Un ZOOPHYTAIRE. ZOOPHYTANTHRACE (du gr. zoon, animal; pluton, plante, et anthrar, akos, charbon) adj. Se dit des charbons minéraux formés d'un mélange de débris d'animaux et de végétaux. ZOOPHYTES (du gr. zoon, animal, et pluton, plante) n. m. pl. Zool. Embranchement du règne animal com- prenant les calentérés. (V. ce mot.) - Un zooPBYTE. ZOOPHYTIQUE (tik) adj. Hist. nat. Qui contient des zoophytes: Roches zooPHYTIQUES. ZOOPHYTOGRAPHE n. et adj. Se dit d'un naturaliste qui s'occupe de zoophytographie, qui a écrit une zoophyto- graphie. ZOOPHYTOGRAPHIE (/i- de zoophyte, et du gr. gra- phein, écrire) n. f. Hist. nat. Description des zoophytes. ZOOPHYTOGRAPHIQUE (fik) adj. Qui a rapport à la zoophytographie: Méthode zooPHYTOGRAPHIQUE. ZOOPHYTOIDE (de zoophyte, et du gr. eidor, aspect) adj. Qui rassemble à un zoophyte, qui se rapporte aux zoophytes: Organization zooPBYTOIDE.