Page:Nouvelles sources de Moïse de Khoren.djvu/48

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femme du roidu pays etfait entendre la prédication de rÉvangile.

II. Le lendemain (ou: quelques jours après) le roi, étant à la chasse, est surpris par un brouillard obscur qui lui fait perdre son chemin. Effrayé, il invoque le Dieu de Tétrangère et promet de Tadorer si les ténèbres se dissipent. Il est exaucé et se con- vertit.

III. Devenu à son tour prédicateur de l'Évangile, le roi veut faire par- tager sa foi à ses sujets; mais, pour cela, un miracle devient nécessaire. Le miracle s'accomplit et le peuple ibérien embrasse le Christianisme.

Nous allons prendre successivement chacun de ces sommaires en comparant les deux textes de Socrate et de Moïse.

I. Cette partie, très développée dans le texte grec de Socrate (le seul que j'aie ici sous les yeux), est d'une concision extrême chez Moïse. L'unique ressemblance de forme — il est vrai qu'elle est importante — con- siste dans le commun début du récit: Mais il est temps de raconte r la conversion au Christianisme du pays des Ibères. Une femme .. . (Katpàç âè ^Srj Xéyeiv^ OTccDç xal ^'J^Tjpeç unb zov abrov ^povov è/pc- (Tud\fcaav. rovij ztç . . . Socrate. — ^««/^ j«»-

utuirg_ ^uyj&i^ u>n.u>2b «^ i|^tr «i» . . . Moïso dc Khoreu).

i Dans les éditions de M. de Kh. cette phrase est la derniôre da cliap. 85.

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