Page:Nouvelles sources de Moïse de Khoren.djvu/52

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parer ce fragment avec Thistoire de TapparitioD de la croix miraculeuse au chap. 86 de Moïse de Ehoren, pour être convaincu qu'il a sous les yeux la source où ce dernier a puisé. Il est vrai que, contrairement à ce que noos avons vu jusqu'ici, Moïse a largement amplifié l'original. Sou récit est trop connu pour qu'il soit utile de le reproduire en entier. Il nous suffira de signaler quelques-unes des expres- sions qui trahissent le mieux l'emprunt: «Les Ibères apprirent qu'ils devaient adorer le signe de la croix du Christ;... ils le dressèrent sur une colline... mais ayant constaté que c'était un morceau de bois, non pas une œuvre d'artistes, la plupart d'entre eux le méprisèrent...'

Si la suite de l'histoire, c'est-à-dire l'ap- parition de la croix miraculeuse, n'est pas aussi simple chez Moïse que chez Socrate, cela tient probablement à une méprise du premier sur la signification des mots ipt-u$uLnfiiru»i_ i^'u^/i %^% ^ii«^^^, entendus dans le sens de l'apparition d'une croix lumineuse indépendaute de la croix primitivement plantée. Ajoutez à cette croix une colonne de nuées et des étoiles, rémi- niscences de la vision de S. Grégoire chez Agathauge, et vous comprendrez sans difficulté tous les développements auxquels se livre Moïse.

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