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LA VILLE ENCHANTÉE

tisme stupide lui faisait peine, mais c’est un homme que rien ne met en colère.

« Ils auront raison de vous, mon ami, me disait-il.

— Jamais, criai-je. Avant cette campagne, j’aurais pu céder, mais venir me dire que les portes de la ville ont été ouvertes, que le ciel s’est montré à nous et que l’Être suprême a dérogé aux lois de sa providence, uniquement pour endosser les réclamations d’une poignée de nonnes et permettre à quelques malades d’entendre la messe chaque matin, non, jamais, je n’admettrai une absurdité pareille.

— Sans doute, sans doute, répondait M. le Curé ; vous verrez pourtant qu’ils auront le dernier mot. »

Ma colère redoubla à l’entendre parler ainsi ; mais, pour comble d’ennui, ne voilà-