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Page:Oudin - Curiositez françoises, 1656.djvu/266

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MA 255

25g chacun prife fa M : archandife, i, fait dia de ce ga i qui My appartient.

  • il en a eu bon Marché , i. il l’a emporté auec faeilir

té : eu.lt ien, il a rcceu peu de dons ►naoe ou de perte.

  • bn n’a jamais bon Marché de 1nefchante mar.. ;

’ chandifie, pour dire qu’il faut ronfleurs acheper les meilléures choies , d’autant qu’ellesfont plus profita. bles. vulg.

  • il n’en a pas eu meilleur Marché, i. tous fez arti=

figes, ou routes fis peines ne luy ont feresy de rien : it a c fl é sraisté cotent les autres.

  • le Mar ché tiendra iufqu’à la mort, cela ledit des

pesfennes mariées qui ne fe feparout que par ce fout troyen.

  • ie ne croyois pas en forcir à fi bon Marché ,

ante fi peu de eldpe nie , de danger , onde dommage.

  • c’eft Marché comme de paille ,i, vous aue7 ; .eu cela

fart bon marché. vulg.

  • aller fur les Marches d’autruy , i, pourfniure la

me fuie choie.

  • ioder des baffes Marches, i. faire l’a8e venerien.
  • ien’yMarchepasdebonpied,i, ien’yvaypas

yâlentiers. vous Marchez de ce pied là, i. fi vous procedezde la fer te.

  • Mardy gras , i. -pn homme qui a le roi/age fort pie

-on gros homme,vulg.

  • cela fent fon Mardy gras , i. -poila dti paroles on

des aFfions qui font rn pan desbonnèftes. de la Marée, i. du poifr. s de mer qui, n’eft point filé.

  • de la Marée fraifche ii.. vue putain,

fentir la Marée, i, fentir fa garce. •