Page:Ovide - Métamorphoses, traduction Gros, 1866.djvu/383

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LIVRE DIXIÈME 2L’UÏDICE ESTRENDUEA ORPHEE. — IL LATERDONESECONDE FOIS. I. Deschamps de la Crètel’Hymen, vêtu d’une robe d’or, s’élance dans les vastes plaines de l’air el dirige son vol vers la Thrace, où Orphée invoque inutilement son appui. L’Hymenassiste à son union avecEurydice ; mais il ne profère point les paroles sacrées, il ne porte ni un front serein, ni un heureux présage. La torche qu’il lient dans sa main pétille et répand sans cesse une humide fumée : en vain le dieu l’agite ; elle ne donne aucune clarté. Ce présageest suivi d’un événementplus sinistre encore. Tandisque la nouvelle épouse court dans les prairies avec les Naïades ses compagnes, elle meurt, blessée au talon par la morsure d’un serpent. Après l’avoir longtempspleurée sur la terre, ie chantre LIBER DECIMUS OHPHEO EURYDICE REDDITCR, HOSQtTE ADFERTIR ITERUÎi, I. Indeper immensumcroccovclalusamictu Aara digredilur, Ciconumque Uymenaws ad oras Tendit, et orpheanequicquamvocevocalnr. Adfuitillequidem ; sednecsolemniaverlia, NecIrelosvnltus, néefelisatlulitomen. , -j Faxquoque, quamlenuil, laerymoso siriùuiaJumo LJsqnefuit, nullosqueinvenitmotibusignés. Exittisauspîciogravior ; namnuplaperlierlias Dtimnova.Naiadum turhacomilalavngalur, Decidit, in talumserponlisdenterecepto. H) Quamsalisadsupera*posiquamrliodopeiusauras ’21,