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la Mennais demain ou après-demain, avant leur départ pour Rome[1]. Jusqu’ici Paris ne m’a point enchanté j’ai pourtant beaucoup vu. Je n’ai point de grandes facilités pour travailler, vu mon inexpérience, mon ignorance des ressources et l’état provisoire où je me trouve. J'espère parvenir à fonder la réunion dont je t’ai parlé, j’ai déjà des données pour cela ; Pessonneaux partage nos projets et me tient volontiers compagnie. Adieu, mon bon ami que Dieu bénisse nos efforts !
- ↑ M. de la Mennais demeurait alors rue de Vaugirard, 98 ; il avait suspendu, le 15 septembre la publication de l'Avenir , et ; le 31 décembre 1851, il arrivait à Rome accompagné de l’abbé Lacordaire et de M. de Montalembert.
