Aller au contenu

Page:Pépin - Les barricades en 1832.djvu/23

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

haussait le cœur, et elle s’écriait dans son ravissement : « Voyez ce convoi populaire ; comparez le convoi de Lamarque à celui de l’impopulaire Périer. »