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Page:Pétrone - Satyricon, trad. Héguin de Guerle, 1861.djvu/447

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nie que l’on observait dans le sacrifice de ces victimes expiatoires : Lustrare civitatem, dit-il, humana hostia gallicus mos est. Nam aliquis de elegantissimis pellicebatur prœmiis, ut se ad hoc venderet : qui anno toto publicis sumptibus alebatur purioribus cibis ; denique certo et solemni die per totam civitatem ductus ex urbe, extra pomœria saxis occidebutur a populo. Si quelque lecteur trouvait la conclusion du roman satirique de Pétrone trop horrible et trop peu vraisemblable, ce passage de Lactance suffirait, je pense, pour justifier notre auteur.