Page:Parmentier - Traité sur la culture et les usages des pommes de terre, 1789.djvu/397

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provinces y répandent cet ouvrage : le cultivateur auquel il parviendra, sera convaincu de son utilité, et il faut espérer que ses préjugés, céderont enfin à la multiplicité des expériences qui lui sont présentées. En conséquence, nous croyons cet ouvrage digne de l’approbation de la Société.

Signés Thouin, Cadet de Vaux.

Je certifie cet extrait conforme à l’original et au jugement de la Société. A Paris, ce 20 février 1789.

Broussonet, Secrétaire perpétuel.




FAUTES ESSENTIELLES A CORRIGER.


Page 21, ligne 8, sucré, lisez serré.

Page 87, ligne 6, de l’Adebat, lisez de Ladebat.

Page 89, ligne 17, Crette de Pavuel, lisez Crette de Palluel.

Page 261, ligne 21, cuves, lisez caves.

Page 307, ligne dernière, appâter, lisez appéter.