le vingtième siècle on sait combien l’homme, toujours sous l’influence de désirs plus élevés suggérés par sa conscience, sut accroître la puissance de sa vision en développant dans la couche rétinienne, en plus des cônes et des bâtonnets, de nouvelles terminaisons nerveuses sensibles aux rayons ultra-violets.
Faut-il rappeler également, lors des débuts de la grande renaissance idéaliste, l’apparition dans l’oreille interne d’un nouveau canal cette fois circulaire, donnant à l’homme l’indispensable sensation d’équilibre dans les déplacements du corps à quatre dimensions ?
On se souvient en effet que dans le sens de l’audition c’était aux trois canaux semi-circulaires seuls que l’homme devait la notion de l’espace et la représentation équilibrée des positions relatives des corps dans le monde à trois dimensions. Cela est si vrai que l’on provoquait chez un animal des mouvements déréglés de rotation, de roulement ou de culbute suivant que l’on agissait expérimentalement soit sur le canal horizontal, soit sur le vertical antérieur, soit sur le vertical postérieur, chaque canal correspondant à une notion de dimension distincte de l’espace à trois dimensions.
Lors des premiers essais d’application de la quatrième dimension aux déplacements du corps,