Page:Peguy oeuvres completes 13.djvu/297

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grecs latinisés. Il les servait en effet. Il servait le Dieu qui venait. Il préparait au Dieu qui venait, à la Vierge qui venait, Deo nascenti Virginique matri un certain latin, presque un certain idiome propre. La grande chrétienté italienne l’avait profondément senti et marqué. La grande chrétienté française l’avait profondément senti et marqué. Hugo même, le jeune Hugo le marqua profondément.

§ 310. — Il n’est si bonne compaignie, disaient ces vieilles gens, qui ne se quitte. Je vois malheureusement qu’il est l’heure que nous quittions la compagnie de M. Laudet. Il nous assure que M. le Grix nous répondra. Si nous tirons autant de profit de la compagnie de M. le Grix que nous en avons tiré de celle de M. Laudet, nous devons les en remercier l’un et l’autre. Il nous l’affirme à une ou deux reprises. « Et voilà pourquoi c’est moi qui prends la plume, — (copier du Laudet, quand on vient de copier du Joinville), — aujourd’hui, non pas pour défendre un article que j’ai approuvé sans cependant en avoir écrit ni inspiré un traître mot, mais pour signaler les procédés et la méthode scientifique de l’école Péguy, en attendant que François le Grix réponde sur le fonds de la question — (je vous assure, monsieur Laudet, il vaudrait mieux écrire le fond de la question. On n’écrit pas le fond de la question comme un fonds de commerce) — à Péguy dans une de ses chroniques. »

Et commençant au bas de sa 278 : « Il est de mon devoir de considérer et de signaler comme un faux l’usage que l’on fait de mon nom pour un article que l’on sait