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Page:Perrodil - À travers les cactus, 1896.djvu/110

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à travers les cactus

— Nous ne dormons pas, dit-il, et nous ne prenons aucun repos ; mieux vaut décamper.

La proposition fut acceptée. Avec le matin, le vent allait se calmer. On se remit en selle et on s’éloigna sans regret du village des Salines, dont nous ne devions plus oublier la nuit horrible et, pour nous désormais, légendaire.