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de Navarre et le prince de Condé seront épargnés, 153. Dissimulation profonde du Roi ; mesures prises pour rendre le massacre plus facile et plus sûr, 154. Ses remords après la S.-Barthelemy ; il négocie avec La Noue, l’un des chefs les plus renommés du parti protestant ; lui donne le gouvernement de La Rochelle, 162. Assiste au siége de cette ville, 163. Signe un traité de paix avec les protestans, 164. Presse le départ du duc d’Anjou pour la Pologne ; motifs qui l’animent ; son existence triste et languissante depuis la S.-Barthelemy ; il tombe sérieusement malade à Vitry, 167. Va s’établir à S.-Germain, où il espère en vain trouver le repos qui le fuit, 168. Ordonne au duc de Guise d’étrangler La Mole, amant de Marguerite de Valois, 169. Se retire à Paris, protégé par les Suisses, 170. Est transporté à Vincennes, où il montre le désir de soulager ses peuples, 172. Près de mourir, il appelle auprès de lui le roi de Navarre, lui recommande sa femme et sa fille, et meurt dans ses bras, 173. (Introd.) — Visite les provinces, XXIV, 412. Ordonne aux Guise et aux Châtillon de sortir de Paris, 414. Épouse Élis. d’Autriche, fille de Maximilien, XXV, 185. Avoue au parlement le massacre de la S.-Barthelemy, 300. (Mém. de Tavannes.) — Son discours à l’ouverture du colloque de Poissy, XXXIII, 147. Publie des lettres patentes pour déclarer qu’il est libre à Paris, et que les protestans ne doivent se révolter ni prendre les armes, sous prétexte que lui et ses frères sont prisonniers du duc de Guise et du connétable, 180. Adresse aux princes d’Allemagne une déclaration pour leur faire entendre qu’il est libre, ainsi que sa mère et ses frères, et pour les engager à retirer du royaume les troupes qu’ils y ont à la solde des protestans ; remplace Vieilleville dans le commandement de Rouen par Brissac, 258. Accorde aux ecclésiastiques de racheter les terres et immeubles par eux vendus, 319. Se rend à Fontainebleau, où il reçoit les ambassadeurs du Pape, de l’Empereur, du roi d’Espagne, du duc de Savoie et autres princes catholiques, qui le prient de faire observer les décrets du concile de Trente, et l’exhortent à demeurer ferme dans la religion catholique, 320. Réponse qu’il leur fait, 321. Fêtes et divertissemens qui ont lieu à Fontainebleau, 322. Il fait son entrée à Sens ; va à Troyes, où la paix avec l’Anglelerre est conclue et publiée, 326. Prend sous sa protection la reine de Navarre Jeanne d’Albret, et prie le Pape de mettre au néant la sentence qu’il a rendue contre elle, 334. Se rend à Nancy, où il répond aux ambassadeurs des princes catholiques qu’il ne peut casser l’édit de pacification nouvellement fait, 335. Continue la visite de ses provinces, 336. Va à Lyon, où la Reine mère ordonne de construire une bonne citadelle, 338. Se rend en Roussilion ; y publie un édit concernant l’exercice du culte protestant, 340. Ordres qu’il envoie aux gouverneurs des provinces relativement aux huguenots, 341. Tient à Moulins une assemblée des grands du royaume, dans laquelle il réconcilie la veuve du duc de Guise et le cardinal de Lorraine avec l’amiral et avec le maréch. de Montmorency, 365. Instruit du complot des protestans, fait venir les Suisses à Meaux, 381. Se rend avec eux à Paris, 382. Mande de tous côtés ses serviteurs, et se met en état de défense, 383. Se décide à sortir de Paris pour aller à S.-Denis, après avoir inutilement tenté tous les moyens de pacification, 393. Après la bataille de S.-Denis, offre au prince de Condé de faire publier l’édit de pacification par tous les parlemens, s’il veut déposer les armes, 404. Fait la paix avec lui, 415. Motifs qui déterminent les deux partis à la faire, 416. Révoque les édits en faveur des proteslans ; suspend de