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landgrave ; tient une diète à Ausbourg, 10. Sa fausse politique après sa victoire, 16. Apaise la révolte du Pérou, 43. Assiége Metz contre l’avis de ses capitaines, 87. Est forcé de se retirer avec beaucoup de perte, 88. Fait assiéger Térouenne, qui est emportée d’assaut, 109. Vient au secours de Renti assiégé ; son armée y est battue, 138. Abdique à Bruxelles en faveur de son fils Philippe ; laisse l’Empire à son frère, 162. Cette abdication est louée par les uns, blâmée par les autres, 163. Réflexions morales à cette occasion, 168. Sa mort, 224. Son caractère, ses belles actions, 233. (Mém. de Tavannes.) — Il consulte à Rome un devin pour savoir s’il vaincra le roi de France dans une bataille, XXVI, 120. (Mém. de Vieilleville.) — Charge le vice-roi de Naples et son ambassadeur près du Pape d’attirer à son parti Sa Sainteté et ses neveux ; instructions qu’il leur donne à cet effet, XXVIII, 368. Entretient Henri II de belles promesses, et ne cesse d’agir secrètement contre lui, 380. Ses projets pour tenir en sujétion l’Italie, la France et l’Allemagne, XXIX, 27. Essaie de détourner les Suisses de l’alliance de la France, 31. Abdique l’Empire ; acte de la cession et démission que fait ce prince en faveur de son fils, 558. (Mém. de Du Villars.) — Pendant qu’il assure à l’ambassadeur de France qu’il veut persévérer dans l’amitié du Roi, il ordonne partout et secrètement des préparatifs de guerre contre lui, XXXI, 23. Ses efforts pour détourner les Suisses et Grisons de leur alliance avec la France ; comment il veut empêcher le retour en ce pays de S.-André, qui vient de conclure un traité avec l’Angleterre, 25. Fait trancher la tête à Sébastien de Volgeberg pour avoir servi le roi de France ; veut se saisir de la Lorraine par le moyen de la duchesse douairière sa nièce, 26 ; et des villes neutres de Metz, Toul et Verdun, 27. Fait saisir tous les biens meubles et immeubles des Français qui sont dans ses États, et leur ordonne d’en sortir dans un court délai, 28. Renvoie l’ambassadeur Marillac ; rappelle et recherche tous ceux des Allemands qu’il avoit déclarés ses ennemis, 29. Ses efforts pour faire élire son fils Philippe empereur, et anéantir la bulle d’or ; il force les princes d’Allemagne à recourir à la protection du roi de France, 50. Comment il les apaise et se réconcilie avec eux ; son projet de reprendre Metz, 126. Forces qu’il réunit autour de cette place, 127. Contre les avis de ses capitaines, il se décide à en faire le siége, 140. Vains efforts qu’il fait pour la prendre, 168. S’éloigne, laissant au duc d’Albe le soin de départir son armée et d’ordonner la retraite, 175. Lève des impôts vexatoires pour recommencer la guerre, 186. Fait assiéger Térouenne, 188. Détails sur ce siége, 190. Fait raser et démolir cette place, 199. Fait aussi raser le château de Hesdin, 206. Se dispose à livrer bataille aux Français devant le château de Renti ; noms des seigneurs qui commandent son armée, 286. Détails sur cette bataille, 288. Nombre des Impériaux qui y sont tués, 292. L’Empereur se retire à S.-Omer, 296. Comment il est frustré des secours qu’il attendoit des Anglais, 313. Ses prétentions et ses entreprises empêchent la conclusion de la paix, 319. Raisons qui ont pu le porter à abdiquer, 407. Conseils qu’il donne à son fils Philippe, 410. Cérémonie de son abdication, 411. Ses lettres aux électeurs et princes d’Allemagne, 414. Détails sur son départ pour l’Espagne, 433. (Comm. de Rabutin.) — Arrive à son camp devant Metz ; passe son armée en revue ; état de ses forces, XXXII, 334. Se retire à Thionville, 387. État déplorable dans lequel il laisse son camp, 388. (Siége de Metz.)

Charles II, fils de Charles-le-Mauvais, ne ressembla point à son père ; il renonce, moyennant une indemnité, à ses droits sur les com-