Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/334

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

chemont, et le rend maître de Paris, VIII, 489.

Lamare, habitant de Chaumont en Bassigny, est roué vif pour avoir tué dans leur lit le mari, la femme et sa propre tante, XLVIII, 77.

Lambert, potier d’étain, fanatique bourguignon, est choisi par le peuple de Paris pour le commander, VI, 337. Fait égorger tous les prisonniers, 340. Fait mettre le feu au Châtelet, 341.

Lamego (l’évêque de), ambassadeur de Portugal à Rome, se plaint au cardinal Barberin de ce qu’il l’oblige à aller seul par la ville, l’exposant par là à le livrer aux mains de son ennemi l’ambassadeur d’Espagne, LI, 284. Est attaqué en revenant de chez l’ambassadeur de France, 287. Est forcé de retourner chez lui, quoique victorieux, 288. Résolution prise par le Pape dans une congrégation extraordinaire tenue à son égard, 295.

La Molière, contrôleur des guerres, se distingue à la défense de Sienne, XXI, 219.

Lamote (le seign. Alain de) est tué avec son fils Guillaume au siége de Beuvron, VIII, 433.

Lamotte-Serrant, gentilh. d’Anjou, du parti du duc de Guise, est établi gouverneur du château du Mans par le peuple de cette ville, XXXVI, 130.

Lamotte, commandant de Gravelines pour le roi d’Espagne, est tué d’une arquebusade au siége de Dourlens ; origine de ce seigneur, XLIII, 50.

Lancastre (le duc de) débarque en Normandie, et y commet d’horribles ravages, IV, 129. Est envoyé à Calais avec 30,000 hommes, 155. N’en a pas plus de 6,000 quand il arrive près de Bordeaux, 156. (Précis des guerres entre la Fr. et l’Angleterre.) — Est envoyé en Bretagne pour soutenir le comte de Montfort, 183. Fait serment de planter son enseigne sur les murs de Rennes ; conçoit beaucoup d’estime pour Duguesclin, 184. Jure toutefois que s’il tombe jamais dans ses mains il ne le relâchera pour aucune rançon, 185. Stratagême qu’il emploie pour attirer à un combat la garnison de Rennes, 187. Est trompé par un bourgeois de cette ville, 189. Veut voir Duguesclin, et lui expédie un sauf-conduit, 193. Le reçoit dans sa tente, 196. L’engage à prendre parti dans son armée, 197. Lui fait présent du plus beau coursier de son écurie, 199. Défense qu’il fait publier à l’occasion du combat entre Brambroc et Duguesclin, 201. Félicite ce dernier sur sa victoire, 202. Soins qu’il donne au siége de Rennes, 203. Est reçu lui dixième dans la place, plante son étendard sur les murs, lève le siége, 206. Va faire celui de Dinan, 209. Accorde une suspension d’armes à la garnison, 210. Accueil qu’il fait à Duguesclin, qui vient réclamer justice dans son camp, 213. Commande à Thomas de Cantorbie de lui rendre son frère, qu’il tient injustement prisonnier, 214. Consent à aller à Dinan pour être témoin du combat que Duguesclin et Thomas de Cantorbie doivent se livrer, 217. Presse Duguesclin de cesser le combat, 221. Lui témoigne un surcroît d’estime ; lui donne le cheval et les armes du chevalier dont il a triomphé, 222. Lui remet Olivier son frère ; reçoit ordre de repasser la mer, 223. Il tombe malade, 224. Passe la mer avec grand nombre de gendarmes et d’archers pour se rendre auprès du prince de Galles, qui va soutenir Pierre-le-Cruel, 400. Commande le 1er corps d’armée à la bataille de Navarette, 410. (Anc. Mém. sur Duguesclin.)

Landais (Pierre), favori du duc de Bretagne, est livré par le duc lui-même à ses ennemis, qui le font pendre, XIV, 160.

Landeberg (Hans-Ludovic de), un des colonels du duc de Wittemberg, auteur principal des rebellions des lansquenets, est arrêté à Lyon, jugé, condamné à avoir la tête tranchée, et exécuté, XIX, 273.